Si les assassinats se concentraient par le passé dans un pays ou une zone géographique, il semble que ce ne soit plus le cas.
L’agence Fides parle à ce propos d’une « mondialisation de la violence ». En effet, si par le passé les missionnaires tués étaient en grande partie concentrés dans une nation ou une zone géographique, en 2019 le phénomène apparait plus généralisé et plus diffus. Ont ainsi été baigné du sang des missionnaires 10 pays d’Afrique, 8 d’Amérique, 1 d’Asie et 1 d’Europe.
Le martyre est l’air de la vie d’un chrétien, d’une communauté chrétienne. Il y aura toujours des martyrs parmi nous. C’est le signal que nous marchons sur la route de Jésus.
C’est avec cette déclaration du Pape François prononcé lors de l’audience générale du 11 décembre dernier que s’ouvre ce rapport sur les missionnaires assassinés en 2019. Il est précisé que le terme «missionnaire» désigne l’ensemble des baptisés «quelle que soit sa fonction dans l’Église et le niveau d’instruction de sa foi», et pas uniquement les missionnaires ad gentes au sens strict.
Texte complet de l’agence Fides