Amazonie : un bateau pour le diocèse de São Gabriel
Les OPM s’engagent pour l’Eglise d’Amazonie : financer l’acquisition d’un nouveau bateau avec un moteur neuf.
Via les OPM du Liban, aidons nos frères chrétiens des villages bombardés à reconstruire.
Le Père Raphael Zgheib, Directeur National des OPM au Liban, témoigne de la situation dramatique dans son pays. Aux côtés de nos frères chrétiens du
Liban, les OPM se mobilisent pour aider les chrétiens libanais à rester dans leur pays, continuer à vivre et à témoigner de l’amour de Jésus.
Le Père Raphael
La crise qui a éclaté au sud du Liban et à la Bekaa a provoqué un exode massif de la population musulmane vers les régions plus sûres, notamment les villages chrétiens. Ces communautés, déjà fragilisées par la crise économique qui sévit depuis 2019, ont ouvert leurs portes aux déplacés, faisant preuve d’une solidarité remarquable. Néanmoins, cette générosité a un coût : les réserves de nourriture et de chauffage des villages chrétiens à la Bekaa, particulièrement vulnérables en hiver, sont désormais au plus bas.
Au sud du Liban, malgré la trêve officielle, les populations civiles des villages chrétiens situés à proximité de la frontière libano-israélienne continuent de souffrir des conséquences du conflit. Malgré le déplacement d’une partie des habitants vers des zones plus sûres, nombreux sont ceux qui sont restés sur place pour protéger leurs biens. Jusqu’à présent ils sont interdits de revenir dans leur village pour des raisons sécuritaire durant la période du cessez le feu qui s’étale sur 60 jours.
Les dégâts des bombardements dans le village de Qouzah
Les familles s’entassent dans les bâtiments restés debout
L’église de Qouzah aujourd’hui
Les attaques israéliennes ont eu des conséquences dévastatrices sur ces communautés chrétiennes vivant à proximité de la frontière. Les habitants de ces villages ont fait preuve d’une grande détermination en choisissant de rester sur place, malgré les risques. Néanmoins, les infrastructures essentielles ont été gravement endommagées, notamment les réseaux électriques. La destruction de Qouzah illustre l’ampleur des dégâts subis. C’est pourquoi les besoins humanitaires sont multiples et pressants :
Accès à l’énergie : La pénurie de carburant entrave l’utilisation des générateurs électriques, rendant la vie quotidienne extrêmement difficile, surtout en hiver.
Sécurité : La peur que le Hezbollah s’infiltre dans les villages chrétiens pousse les habitants à rester sur place, même dans des conditions précaires.
Réhabilitation des infrastructures : Les dégâts matériels sont importants et nécessiteront des investissements
Priez pour la communauté chrétienne libanaise exsangue et pour le retour de la paix, personnellement, en famille, avec votre paroisse ou votre communauté
Faites un don au fonds aux OPM pour aider concrètement à la reconstruction.